Première rencontre de la représentation arabe de l’Académie des jeunes scientifiques

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Alexandrie, 28 novembre 2005—La première rencontre de la représentation arabe de l’Académie des jeunes scientifiques a eu lieu à la Bibliotheca Alexandrina le 28 novembre et se prolongera jusqu’au 29. Cette rencontre a été organisée par l’officine arabe de l’Académie des sciences du tiers-monde avec le soutien de l’Académie des jeunes scientifiques.

Cette manifestation peut être considérée comme le premier effectif pour l’établissement d’une officine régionale de l’Académie mondiale des jeunes scientifiques. L’objectif de cette officine est de contribuer à travers le renforcement des capacités des jeunes chercheurs à conduire des investigations scientifiques de haute qualité, investigations couvrant le champs de la science et de la technologie ainsi que celui de l’environnement. Il s’agira lors de cette rencontre de soulever les problèmes très importants que rencontrent les jeunes chercheurs dans le Monde arabe pour poursuivre ou concrétiser leurs recherches et d’y proposer des remèdes.

Parallèlement au strict examen de la situation scientifique arabe en particulier concernant les jeunes, on analysera les foyers de dysfonctionnement au niveau des sociétés arabes comme un tout avec le problème, majeur, d’un manque chronique de coordination et de circulation entre les différents relais de l’information qu’elle soit scientifique ou politique (à cela bien sûr Internet remédie pour une large part). On cherchera de même à renforcer significativement les liens qui unissent les checheurs arabes et les chercheurs étrangers.

De nombreuses personnalités ont été conviées à cette manifestation comme Dr. Farouq Al Baz, directeur du Centre de télédétection de l’Université de Boston, Dr. Gaël Mainguy, président de l’Académie des jeunes scientifiques, Dr. Rania Obaid Ghoubash, présidente du réseau arabe pour la présence des femmes dans la science et la technologie, Dr. Farkhonda Hassan, sécrétaire générale du Conseil national des femmes d’egypte et Dr. Mohamed Faham, directeur du Centre des études spéciales de la Bibliotheca Alexandrina.


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