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Pour
les études de cohorte ouverte, sur la figure, on compte combien
de temps chaque individu non malade demeure dans chaque groupe
d’exposition (exposé ou non). Lorsque qu’un individu change
de groupe d’exposition, on compte le temps passé dans chacun
des groupe tant que cet individu demeure non malade. On
additionne ensuite, pour tous les individus de la population étudiée,
le temps écoulé dans chacun de ces groupes
d'exposition.
On obtient alors le nombre de personne-temps dans chaque
groupe. De
plus, au cours de la période de l'étude, on observera ces individus pour mesurer la survenue de la maladie.
Si un individu devient malade lorsqu’il est exposé,
alors ce cas est classé dans le groupe des exposés.
On additionne le nombre de cas dans chacun des groupes
d'exposition.
De
plus, il se peut que des individus meurent ou émigrent au cours
de l'études (les "O" sur la figure).
Ces individus sont considérés comme des pertes au
suivi et ne constituent pas de problème si la raison de leur
émigration ou de leur mort n'est pas associée avec la
maladie.
Le
taux d’'incidence doit être mesuré au cours d'une période
où le risque de M est constant.
Si
le risque n'est pas constant, on calcule ce dernier séparément
pour les périodes de temps suffisamment courtes pour que le
taux d’incidence y demeure constant.
En
conclusion, les 3 types d’étude ont mené au calcul de
trois mesures d’association de magnitude bien différente.
Par conséquent, il est important de bien choisir une
mesure d’association selon les circonstances. Les mesures de risque
dans les cohortes fermées devraient préférablement
être utilisés dans les cas où la période de
latence est courte.
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